Qu'avons nous fait en 2020 ?

Nous avons cosigné (avec la Confédération paysanne, Pollinis, le GIET et Sciences Citoyennes) une lettre au gouvernement pour demander l'interdiction (et non un moratoire) sur le forçage génétique. Sur ce même sujet, nous avons écrit un article introductif dans L'Ecologiste sur le forçage génétique et un autre pour Inf'OGM (sur le fait de savoir si le forçage génétique est naturel ?).

Nous avons cosigné avec des associations de lutte contre l'expérimentation animale une lettre aux députés pour leur demander de ne pas réintroduire l'article 17 de la loi de "bioétique" qui vise à légaliser des animaux chimère. Cette lettre est parue dans La Croix.

Nous avons également participé à des articles pour Inf'OGM sur le fait que la loi de bioéthique française est écrite pour légaliser notamment (compléments sur le site de PMO) :

  1. (en 2019) des embryons humains transgéniques, certes non réimplantés (mais cette autorisation vise justement à les rendre acceptables). Nous restons très intéressés de voir que la plupart des anti-OGM n'ont rien dit. Ils sont donc contre les OGM végétaux et animaux mais pas quand ils sont humain ?
  2. des animaux chimères, c'est à dire des embryons animaux auxquels des scientifiques adjoindront des cellules humaines pour voir comment ça pousse et afin de faire pousser des organes humains sur les animaux. En gros on récoltera des organes sur les animaux pour les humains comme on récolte du blé qu'on fait pousser sur la terre !
  3. des cellules iPS qui permettront un eugénisme massif. La demande suivra et ceux qui s'opposeront à cet eugénisme seront qualitifés de anti-démocratiques, puisque la "démocratie" sera un agrégat de désirs, de volonté de puissance, de consumérisme, d'utilitarisme et de narcissisme. (publié en 2020).

Nous avons été invité sur Radio Libertaire sur la loi de "bioéthique" française.

Nous étions présents lors de la restitution des travaux de l'ANSES sur les VrTH. Ce sujet est crucial pour nous et notre présence a permis de corriger certaines expressions. Le rapport a été produit devant le Conseil d'État devant lequel nous sommes retournés.

Nous avons coorganisé avec Inf'OGM un webinaire sur le forçage génétique.

Nous avons aussi participé à la levée de fonds visant à financer des recherches pour établir l'identification des techniques de modification génétique (deux applications). Nous avons aussi beaucoup distribué de tracts et d'informations papier lors de nos présences sur des marchés ou lors de conférences.

Nous avons participé à un rendez-vous dans un ministère sur le forçage génétique.

D'un point de vue juridique, nous avons participé à une sous-procédure devant le Conseil d'Etat pour faire reconnaître que l'Etat ne faisait pas ce à quoi il avait été condamné. Le résultat est arrive en 2021 et nous a totalement donné raison.

Fait à Paris le 10 juin 2021

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