Quelques articles en rapport avec les OGM ...
Vous trouverez, ci-dessous, quelques articles écrits par des membres de l'association sur le sujet des OGM.
- [2021] Forçage génétique : l'UICN à l'heure des choix dans la revue L'Ecologiste décembre 2021
- [2020] Forçage génétique : l’AESA estime le cadre adéquat mais insuffisant, Inf'OGM 22 décembre 2020
- [2020] Le forçage génétique naturel ou pas ? Inf'OGM septembre 2020
- [2020] Forçage
génétique : l'UICN à l'heure des choix , L'Ecologiste mars-mai 2020
- [2018] Un article sur la victoire de la CJUE du 25 juillet 2018
- [2018] Un article sur les conférences de citoyens paru sur le site d'Inf'OGM en 2018
- [2016] Un article sur les OGM
cachés paru dans Ecologiste
n° 48 en 2016
- [2013] Un article sur les OGM et les abeilles paru en décembre 2013 dans la revue du Syndicat National de l'Apiculture (SNA).
- [2011] Un article sur le colza muté (OGM caché) paru dans L'Ecologiste n° 34 en 2011
- [2009] Un article sur les plantes mutées (OGM cachés) paru dans L'Ecologiste n° 30 en décembre 2009.
- [2008] Pourquoi nous sommes opposés à la loi dite de coexistence (qui justifie les pollutions) de 2008.
- Le texte de la partie d'un livre que nous avons coécrit sur les OGM, les brevets sur le vivant et les pays du Sud.
- Les OGM, la transparence, l'Union européenne et nous ...
- Un article sur la défense et illustration de la désobéissance
civique.
- Un article sur la contamination du riz par un riz GM, le LL601.
- Un article qui est paru dans le journal
20 minutes, distribué gratuitement dans Paris sur le caractère
certes illégal, mais pas illégitime des fauchages.
- Un article paru dans le numéro
8 de l'Ecologiste sur les
rapports entre l'Etat, la volonté générale et les OGM.
- Un article non publié, mais qui est
le compte-rendu (donc dans un style assez oral) d'une conférence
faite au Sénat à l'invitation de l'association Femmes en carrières
juridiques. Plusieurs manipulations langagières y sont démontées et
un point est fait sur de nombreux aspects des OGM (rBGH, Treminator,
brevets, aspects plus philosophiques).
- La contribution d'un membre lors du débat
sur les essais en champs des OGM au Conseil Economique et
Social (2002).
- Un article paru sur le site toile
de la revue La recherche,
en réponse à un article de Francine Casse, membre de la CGB, qui
expliquait doctement (forcement) que le gène de résistance aux
antibiotiques n'était pas un problème car la probabilité de
dissémination était quasi nulle. Nous n'avons jamais soutenu que ce
gène représentait un réel problème (l'usage et même l'abus des
antibiotique dans l'alimentation animale est certainement nettement
pire, meme si cela n'absout pas ce gène de résistance). Mais dans
cet article, Mme Casse en faisait trop et occultait la bibliographie
scientifique qui n'allait pas tout à fait dans son sens. On pourrait
rappeler ici la phrase de JP Sartre à qui l'on demandait de
condamner ouvertement les goulags et qui a répondu « Il ne faut pas
désespérer Billancourt » ...
- Un article écrit dans la revue de
l'université Paris-Sud pour répondre à un chercheur qui expliquait
que les brevets sur les gènes humains, après tout, puisque la
directive 98/44 exige des brevets sur les plantes, que c'est donc
indiscutable (pour lui !), et qu'on ne peut psa faire la différence
entre un gène de plante et un gène humain, où est le problème de
brevets sur les gènes humains ?
- Un article qui a été soumis à plusieurs journaux pour expliquer l'histoire de l'hormone de croissance (rBGH ou
rBST) . Ca se lit comme un polar tellement c'est caricatural.
- Un article paru dans le numéro 5 de la revue L'Ecologiste
pour expliquer que dire qu'il n'existe pas de gène
de la fidélité est certainement faux. En fait, la motivation
(certes belle !) de ceux qui soutiennent ce genre de thèses est que
l'homme soit supérieur aux déterminations de la matière, des gènes.
Mais elle présuppose que l'esprit, la culture soit supérieur à la
"matière", à la culture. S'il est faux, aussi, de dire que la
"matière" (= les gènes pour ceux qui défendent cela et identifient
plus souvent le gène avec l'"essence" de la personne ...) est la
plus importante (discours plus des scientifiques), la vérité est
assurément entre les deux. La "matière" et la culture interagissent
et le mystère de la Vie, de l'être, vient de ce caractère
indissoluble, d'une forme d'alchimie dans laquelle le "bien" et le
"mal" sont inséparables. Finalement, n'est-ce pas un manichéisme
moderne qui fait rêver à séparer l'essence de l'accessoire ?
La question FAQ aléatoire :
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